Tuesday, August 23, 2005

à Paris, les gens sont gris, le ciel est gris, les immeubles sont gris, bref tout est gris

Monday, August 22, 2005


J.L.G.

Mais qui se cache derrière ces initiales ?
Quelques répliques de ses personnages :

(Dictée d’une petite fille de huit ans)
« La poule est un animal qui se compose de l’extérieur et de l’intérieur. Si on enlève l’extérieur, il reste l’intérieur et quand on enlève l intérieur alors on voit l’âme. »

(Un joueur de baby foot dans un bar regardant une jolie fille assise)
« Qu’est ce que c’est? Une femme du monde ou une poufiasse? ...
On va l’injurier, si c est une poufiasse, elle se mettra en colère, si elle sourie c’est une femme du monde. »

(Un vieil homme à la jolie jeune fille)
« Pour vivre en parlant, il faut avoir passé par la mort de la vie sans parler »
« Ne plus savoir quoi dire, par peur de ne pas trouver le mot juste ».

Friday, August 19, 2005



In Paris


Grafiti


and coffe



Ida y vuelta

La vida es una, dentro una hay varias, un minuto, un sentimiento, una respiración.

Que rara mi primera noche en Paris. Me he despertado al medio de la noche y no sabia donde estuve, en Paris, en la casa de campo al sur de Francia, aquí en mi habitación de siempre? Con quien estuvo tan poco no lo tengo muy claro medio despertado medio soñando, había unos amores españoles. Tal vez una persona sola pero que representaba varias.
Y esta noche, me envío un mail así mi chica de siempre de antes con la cual casi no hemos comunicado en un año, envié un a mi chica de hoy que deje sin querer lo y me acosté pronto.
Y esta noche evento mas raro de todos, su murió mi abuelo sin que pude ver lo, el que se quedaba desde años a casa sin hacer nada, viviendo cada día un día mas igual a el de ayer elijó o no elijó morir mi noche de vuelta.
Más todas las cosas normales de vuelta, que noche.

Madrid des bourbons,


Ladevèze rivière, etapa

y a Paris afueras dos habitaciones dentro una

Sunday, August 07, 2005


C’est un air emplie de joie, d’amour et de mélancolie, un air doux mais aux sentiments si exacerbés, hier matin adieux par lettres laissées dans l’appartement a Rosana et Paul mes colocataires, messages emplis d’amour, hier soir discutions intimes avec mes amis français et même sentiment d’amour fort, et aujourd’hui un mail de la petite Cristina en vacances qui m’envoie les mots les plus touchants possibles. Joie de tant d’amour et de liens, l’essentiel pour cette année expatrié mais tristesse d’adieu a une vie qui se finie, et a des gens que je porte dans mon cœur.
J ai un air doux dans la tête qui fait:
"lalalalala lalala lalala la
lala lalala la lala"

Friday, August 05, 2005


a la media noche

el dueno del bar de Sam y Joel


ha decidido

que sacamos el bar en la calle

Thursday, August 04, 2005

C est bien le moi d´août les rideaux des boutiques sont baissés et les rues moins fréquentées, je me souviens de mes premiers pas dans cette ville et aujourd’hui les rues de Malasaña me sont si familières, le trajet quotidien pour aller au boulot, je remonte ma rue, traverse la petite place San Idelfonso a laquelle ils ont rajouté des arbres cet hiver, ce qui lui ôte un peu de son cachet mexicain avec la grande façade latérale aveugle de l´église. D´ailleurs au moins trois sont déjà morts, de soif. Ensuite la corredera alta avec la boulangerie, puis une série de bars, le mexicain « la katrina » la laverie, le teinturier. Je tourne a gauche au niveau de la salle de sports pour prendre la rue Santo Espiritu, ou vivait Netta. Ici on se retrouvait devant le gimnasio. Puis, un disquaire, des boutiques d habits, un polleria… On arrive sur la petite place triangulaire, avec les jeux pour enfants, anciennement fréquenté de Junkies elle est aujourd’hui lieu de rencontre des ados sud américains en baggies et casquettes. A l´angle avec les rue San Andres qui va jusqu´à la place dos de Mayo, le restaurant Ojala. Avant pour moi un de ces restaurants designé qui me semblait froid et fashion (sable dans la salle en sous sol). Mais auquel on allait parfois manger le menu le midi avec Netta et les serveurs maintenant me saluent quand je passe devant la porte. La rue San Andres pour arriver place Dos de Mayo, tout un chapitre avant tous ces départs il y avait toujours au moins un groupe d´amis ici, Joao le portugais qui promenait son chien, la terrasse de la pizzeria Maravilla si agréable et les chinois qui nous harcèlent quotidiennement pour nous vendre une Mahoo ou une Fink Braun. Quelques soit le jour de la semaine l´endroit est animé jusque tard dans la nuit, descente d escalier en baignoire, jongleurs de feu, Juan l alcoolique Andalou qui chaque soir est présent et vient chanter sur les accords de n´importe quel jeune jouant de la guitare. Sur les bancs autour de l´arc au milieu de la place, il y a une varièté diversifiée des personnes, des groupes d´ado buvant du calimucho, quelques jeunes punkies, les Erasmus vivant dans le quartier, des petits groupes de filles de deux ou trois mangeant des pipas, des marocains vendant du shit, un peu derrière vers la petite fontaine des alcooliques semi vagabonds au visage ravagés, les chinois vendant leur bìeres en tirant leur petit cadis et au dessus sur la terrasses généralement pleine, des gens sortis boire simplement un verre ou manger un pizza. Chaque lieu géographique correspond à un type différent de personnes. Assis à la terrasse ou assis sur les bancs de pierre en arc de cercle sont deux ambiances distinctes en un même lieu. Mais au petit matin la place n´a rien à voir, les déchets et cannettes vides ont été ramassés, le sol rincé a grand coup de jet d´eau. Tout est très calme, certains commerces s´ouvrent tranquillement, le fleuriste, la boulangerie, les riverains viennent promener leur chien avant d´aller au travaille. L atmosphère est paisible loin de la circulation des voitures, seulement quelques passant comme moi traversent la place. Puis je continue mon chemin jusqu à la gloriette Santo Bernardo passant par la rue Malasaña avec des restaurants un peu plus classes et branchés pour arriver à la rue de l´agence généralement j achète un jus et un yaourt a boire au Chinois, cette boutique á toujours une ambiance moite, il fait très chaud sans air et le jeune vendeur est toujours á moitié réveillé, il dort dans une pièce au dessus de la boutique, puis « Hola », au portero de l immeuble et onze étages d´ascenseur. Dring a la porte et me voici au travail.

Wednesday, August 03, 2005

IL n y a pas que Chirac dans la french team,

IL y a le beau Lionel en retraite,
http://lioneljospinps.canalblog.com/
"Moi Lionel Jospin,retraité de la politique,mais toujours prêt à aider mes camarades du PS..."

Le petit Nicolas,
http://www.u-blog.net/sarkozy
"automobiliste = abruti"

Noel Mamère est victime de jolieS blagues
http://merome.net/dotclear/index.php?2005/06/15/87-je-ne-crois-plus-au-pere-noel
ou encore "Il a les glandes, Mamère."

Puis des tas d autres interressants et parfois moins aMUSANTs, Marie Georges Buffet, le site de la Corrèze en lutte, et un sur la constitution europeenne...
http://nonauxsanctions.mon-blog.org/index.php/2005/07/10/32998-2-dimanche-de-suite-avec-marie-georges-buffet-lexcomunication-me-guette

http://perso.wanadoo.fr/correze-en-lutte/

http://merome.net/dotclear/index.php?2005/03/07/41-de-bonne-constitution
Tout va bien le retard au boulot va décroissant, lundi arrivée a 16 heures, hier reveil par les collègues a 10h30, aujourd hui, avec un quart d heure de retard (9h17), j arrive le premier.
Tous cela pour dire que même Chirac a son blog http://www.jacqueschirac.org/

Tuesday, August 02, 2005

Comptine

Una llamada perdida, y bajo!
Una copa de vino, y borracho
Unas madrugadas y ti amo

Un despertador y llega
Un buen licor y otra
Unos vistazos y le gusta

Un acordeón pues música
Una movida púes bebida
Una Marisa pues nada.


*Marisa nombre italiano, sobre cual el dicho dice: se llama Marisa a ti te toca el viento
Una otra frase de Hemingway que los gustara a todos mis amigos romanticos alcolicos con los cuales hemos bebido con tanto gusto, André, Joao, los dos "petits fils de pute de merde" de lisboa, Sam y Joel cuales ya se han pasado del otro lado del escenario, atras de la barra....

"No, con el vino no te sientes mal, dijo para sus adentros, pero, que beberas cuando el vino no te sirva?"

Asi esta un poco la vida de nuestra epoqua aparte del sentido de primero de la tristessa y del alcool, esta frase resuma un poco nuestro mundo de busqueda sin meta de consumacion y placeres.



Proxima vez hablaremos de los campos y de los pueblos en crisis para cambiar un poco de tema

Monday, August 01, 2005

Ce matin comme beaucoup de matin, après m’être réveillé, je sors de chez moi pour aller prendre un café, jour ordinaire, un lundi sauf que je n ai pas été au boulot ce matin, j’étais trop bien dans les bras de la douce Cristina pour la quitter cette dernière fois que je la verrais ici a madrid. C est la saison des adieux, presque chaque jour des départs. L ordinaire se transforme en une succession d’adieu, ça a commencé il y a bien deux mois, certains sont plus tristes que d’autres, il y a des gens que l’on sait qu’on reverra d’autre qu’on croit revoir tout en aillant conscience qu’avec le temps les chemins ne se recroiseront pas et d’autre qu’on sait qu’on ne reverra jamais, juste de bons moments passés ensemble et un chapitre qui se termine. Certains adieux sont heureux pensant aux bons évènements partagés, un temps éphémères déjà consommé, d’autres tristes lorsqu’on sait que la personne va nous manquer ou que nous n’avons pas eu le temps de partager tout ce qu’on aurait aimé.
Nous étions donc rue del pez pour aller petit déjeuner, quand le Palentino entra dans notre champ de vision les grilles étaient baissées et la petite place semblait endormie, éteinte. Chose normale pour un dimanche, le dimanche est un jour particulier de la semaine, au moins parce que le palentino est fermé et que la journée commence ainsi différemment d à l’habitude, mais un Lundi ? C est un peu triste, je voulais dire en revoir, un adieu, casto le patron est un petit vieux qui dégage une forte élégance avec son sourire aux lèvres plissées par les années, sa peau basanée par le temps et ses cheveux qui semblent jaunis par la fumée du tabac des clients. La chemise bien réglée avec un petit gilet en hiver il travaille toujours avec un certains sérieux se tenant droit malgré les années et gardant le sourire jamais lassé de servir ses clients. C’est donc un autre adieu imprévue ce matin une triste surprise qui inaugure le moi d’août. La ville entière est un peu au ralentie et son cœur s’arrête pour une quinzaine de jour.
Ainsi le blog s’appelle Mon Palentino, et je ne sait pas si je reboirait des cafés avec tant de plaisir dans le quartier, car c’était bien un de ces lieux uniques…